Éditos
La rédac’ : articles au hasard
Rendre avril accessible à tous
Privés de sorties en mars du fait des giboulées, c’est avec liesse que nous accueillons avril et le printemps. Il faut dire que ce dernier s’est fait prier, la neige étant encore tombée le mois dernier.
Ce qui nous amène à penser que, les cours d’eau ayant gelé, il n’y aura pas de poisson pour le 1er avril !
Mars, le mois de QuotiBien.fr !
Mars déboulant avec ses giboulées, il est temps pour la rédaction de QuotiBien.fr de se poser pour célébrer son troisième anniversaire !
Février le contrasté fera tout pour se faire aimer
Alors que nous sommes encore à moitié plongés dans la douce langueur des fêtes de fin d’année qui viennent de passer et des « Bonne Année » égrenés tout au long du mois de janvier, février nous plonge dans le vif du sujet, et ce sans transition.
En janvier, apprenons à patienter pour passer une bonne année 2018 !
Belle année 2018 à tous ! Du fond du cœur, la rédaction de Quotibien.fr vous présente ses vœux de bonheur pour cette nouvelle année, et les suivantes !
En décembre, bouclons la boucle
Alors que nous avons l’impression que nous vous souhaitions une belle année 2017 il y a quelques semaines à peine, l’arrivée de décembre nous rappelle que l’année est sur le point de tirer sa révérence, la boucle est bientôt bouclée.
Novembre, s’épauler pour faire revivre la convivialité
Alors que la nature s’est parée de ses couleurs automnales et que la nuit arrive tôt, le doute n’est plus permis, novembre est là.
En octobre, reprenons notre souffle.
Bien qu’à la rédaction de Quotibien.fr nous n’aimions que moyennement l’automne, cette année nous sommes presque heureux de voir octobre pointer son nez.
Il faut dire que septembre nous a littéralement soufflés.
Reprendre du poil de la bête en septembre.
Alors qu’août n’en finit pas de se désagréger, voici qu’arrivent septembre et le moment de reprendre le cours normal de nos existences.
Août : l’abandon remis en question.
Le soleil est à son zénith, les crissements des cigales nous font vibrer, les festivals estivaux battent leur plein, tout comme les réunions de famille. Août est là, c’est le moment où nous avons envie de nous abandonner.
Et, en y regardant de plus près, il semblerait que nous soyons champions en matière d’abandon.
En juillet, plus que la normale.
Juillet fait une arrivée quasi discrète cette année. Il faut dire que juin a été si chaud qu’on aurait pu se croire en plein été
Juin : optimiser les journées les plus longues de l’année.
Enfin, avec le soleil, juin prend ses quartiers d’été. Il était temps. Car ce printemps à la fois frisquet et électoral n’a pas été des plus agréables.
Le joli mois de mai au pays d’Ubu.
Alors que le frisquet avril nous a semblé traîner en longueur, le joli mois de mai pointe enfin son nez.
Comme chaque année, dès le 1er, nous célébrons les travailleurs et le travail. Toutefois, cette année, cela peut nous sembler paradoxal, puisque c’est au cours de ce même mois de mai que nous aurons à départager les deux lauréats du premier tour de la présidentielle, dont les programmes semblent être taillés sur mesure pour le patronat, et non pour la plèbe dont nous faisons partie.
Avril et ses poissons : prenons garde aux harengs saurs.
Avril, qui est habituellement le mois de la légèreté (même si on ne se découvre pas d’un fil), des blagues et des poissons, va pourtant être déterminant pour la suite de l’histoire de notre pays.
Mars, entre lâcher prise et sauter à l’eau.
Mars est là et son arrivée nous met en joie. Si l’hiver a été bref, les dernières semaines nous ont laissé un souvenir glacial.
Les bourgeons des arbres fruitiers pointent, comme autant de promesses gourmandes et vitaminées.
En février, haro sur le froid.
Janvier nous laisse un souvenir glacial : un froid polaire s’est littéralement abattu sur le pays. Certes, c’est de saison, jusque-là rien d’anormal.
2017 arrive : aux citoyens de jouer.
Janvier débarque alors qu’une partie d’entre nous est comme paumée, encore heureuse des festivités de fin d’année et des instants chaleureux passés en famille, mais également glacée par une actualité toujours dramatique.